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Vie des quartiers - Page 8

  • Fête de quartier des Paradis

    Hier se tenait la Fête des Paradis, dans le quartier des Blagis. Philippe Ribatto et l'équipe Union Pour Fontenay-aux-Roses étaient une nouvelle fois présents au côté des habitants.

    fête de quartier,les blagis,fontenay-aux-roses,union pour fontenay,philippe ribatto,municipale,mars 2014Depuis toujours, je considére que la seule politique utile et authentique est celle de l'action locale et de la présence sur le terrain. Nous sommes régulièrement présents dans le quartier des Blagis, car c'est pour nous une partie de notre commune qui ne doit pas être laissée de côté et qui doit bénéficier de la même considération que les autres quartiers de Fontenay-aux-Roses. Trop souvent, lors de nos rencontres avec les habitants, ce sentiment d'abandon ou de stigmatisation des problèmes revient.

    A l'occasion de cette Fête des Paradis, les Fontenaisiens de ce quartier témoignent combien le rôle des associations sur les plans culturel, éducatif, social et environnemental est essentiel. Ces initiatives passionnantes méritent d'être soutenues, appuyées et encouragées. Et c'est là que la volonté politique d'une municipalité doit être un acteur majeur de la vie d'un quartier.

    Philippe Ribatto et l'équipe Union Pour Fontenay-aux-Roses ont rencontré durant cet après-midi des gens dont le travail et les actions sont remarquables. Ils ont partagé avec nous leurs problèmes et leurs difficultés pour mener à bien ces missions. Nous souhaitons les encourager et les soutenir.

    Et il ne s'agit pas de vains mots, mais d'une véritable volonté de notre part. Nous ne serons jamais comme certains politiques ou élus qui sont passés hier pour la première fois, en quelques minutes, mal à l'aise et isolés, et dont la seule motivation de cette première venue au Blagis est le scrutin municipal, dans quelques mois.

    Un grand merci à vous tous, avec qui nous avons dialogué, échangé, proposé et essayé d'imaginer des solutions qui seront parmi les enjeux de l'élection municipale de mars 2014.

     

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  • La ville où il fait bon vivre continue de perdre des habitants !

    Comme chaque année, l'INSEE publie les chiffres concernant l'évolution de la population dans les Hauts-de-Seine. Alors que dans le département le nombre d'habitants continue d'augmenter, à Fontenay-aux-Roses c'est l'inverse qui se produit, comme les années précédentes.

    Les chiffres de l'INSEE sont sans appel : la population augmente dans le département (+11 292 habitants en un an) selon les résultats du recensement partiel effectué en 2012. Sur les 36 communes de notre département, 25 voient le nombre d'habitants augmenter, dont le Plessis-Robinson qui attire le plus de personnes, mais aussi Bois-Colombes, Châtillon et Châtenay-Malabry.

    Par contre, une fois de plus, Fontenay-aux-Roses se caractérise. Notre commune enregistre le plus de départs pour les villes dont la population diminue. La ville où il fait bon vivre, selon Pascal Buchet, est la ville du département où la population baisse le plus.

    C'est un élément de plus à inscrire au bilan de l'actuelle municipalité et qui confirme le déclin dans lequel s'inscrit notre ville depuis 19 ans.

    • Les commerces ferment et ne sont pas remplacés.
    • Les habitants ayant un pouvoir d'achat nécessaire au dynamisme économique de notre ville partent.
    • La mise en cause de la mixité sociale en refusant toute construction en accession à la propriété favorise les départs des habitants de notre ville, notamment les jeunes familles qui ne trouvent pas à se loger lorsque le nombre d'enfants augmente.

    Il s'agit d'un véritable problème de fond quant à l'avenir de Fontenay-aux-Roses. Depuis 19 ans, l'actuelle municipalité n'a aucune vision d'ensemble du développement de notre commune. Si Fontenay était vraiment une ville agréable à vivre, la population ne diminuerait pas.

    Alors, j'entends déjà la réponse du maire : "c'est le choix de la stabilité pour lutter contre la densification". L'emploi du mot "densification" étant destiné à faire peur.

    En réalité, nous sommes face à deux conceptions du développement urbain de Fontenay-aux-Roses. D'un côté l'immobilisme et le déclin, défendus par l'équipe actuelle. De l'autre, la volonté de dessiner un avenir à notre ville, en rendant aux Fontenaisiens des rues propres, des logements adaptés à toutes les catégories sociales et des commerces variés au dynamisme bénéfique à tous.

    Ce débat sera essentiel lors des prochaines élections municipales, en 2014, pour en finir avec ce déclin que nous subissons depuis 19 ans.

     

    Pour mémoire : le nombre d'habitants à Fontenay-aux-Roses avait diminué de -1,8% en 2011 et de -1,36% en 2012. (sources INSEE).

  • Conseil de quartier Ormeaux-Renards

    Le Conseil de quartier Ormeaux-Renards s'est tenu le 12 décembre. Nouvelle formule qui fait suite à l'adoption de la charte de démocratie participative au début de cette année, cette réunion a été un moment de débat qui finalement a mis Pascal Buchet face à son bilan.

    La nouvelle formule des conseils de quartier permet d'associer à la fois la municipalité et les comités d'habitants (habitants volontaires ou choisis par tirage au sort). Ce sont ces derniers qui déterminent l'ordre du jour du conseil de quartier et qui participent au bon déroulement de la réunion. Bien entendu, les habitants dans la salle peuvent intervenir à tout moment, poser des questions et réagir aux propos du maire. Ce que les habitants ne se sont pas privés de faire avec détermination et sans concession face à un maire venu défendre un bilan.

     

    L'abandon du projet LIDL aux Mouilleboeufs. Pascal Buchet est revenu sur les raisons de cet abandon (que nous avions annoncé dès début septembre : Abandon du projet d'installation d'un LIDL à Fontenay-aux-Roses) tout en restant très flou sur le devenir de ce terrain. Il faut rappeler que parmi les conséquences de l'abandon de ce projet, le budget de la commune enregistre un manque à gagner de 1,2 millions d'euros sur 2012 et qu'une vingtaine d'emplois ne seront pas créés.

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    Quel devenir pour ce terrain ? La question reste entière et l'absence de transparence sur les différentes hypothèses à l'étude n'est pas rassurante. Les réponses du maire sont imprécises. Pascal Buchet a évoqué en vrac la création de logements avec commerces au rez-de-chaussée, l'installation d'un hôtel artisanal ou bien d'un projet qui serait étudié en collaboration avec la ville de Sceaux (en rapport avec les constructions prévues le long de la ligne du RER).

    Aux questions des habitants, le maire a répondu qu'il ne savait pas quand un projet alternatif serait proposé, que le risque de voir ce terrain transformé en décharge publique était sous contrôle des services techniques et que si ce dossier n'avance pas, c'est parce qu'il est géré par la communauté d'agglomération Sud-de-Seine. Pourtant, qui en est le vice-président ? C'est bien le maire de Fontenay-aux-Roses.

     

    La vente des bâtiments du conservatoire, rue du Docteur Soubise. Le projet de vendre ces locaux est acté. Par contre, là encore, on ne peut savoir dans quel délai, Pascal Buchet précisant que "ça se fera quand le temps viendra". Avec ce genre de réponse, on sent bien que le maire est dans l'ouverture et la précision.

    Les habitants ont alors demandé si il était possible de conserver ces locaux parce qu'ils donnent de la vie et de l'animation à ce quartier grâce au conservatoire. Pourquoi ne pas y héberger un service public ou associatif ? Le comité d'habitants a même proposé que, dans le cadre de la charte de démocratie participative, il y ait une réflexion sur le devenir de ces locaux en co-élaboration avec les habitants. La réponse de Pascal Buchet : "la démocratie participative ne peut aller à l'encontre des engagements pris dans le cadre du projet municipal, lors des élections".

    Les habitants sont alors revenus sur l'effet domino de ce projet (fermeture du conservatoire rue Soubise, création d'une école de la musique au château Laboissière, transfert du CCJL du château Laboissière au château Sainte-Barbe, et fermeture d'une crèche pour installer le CCJL et une maison des associations au château Sainte-Barbe). Et lorsque le coût global de ce projet a été évoqué, nouvelle réponse du maire : "ce projet ne coûte rien aux Fontenaisiens, c'est Sud-de-Seine qui paye".

    Cette dernière réponse a provoqué un tollé dans la salle, car les budgets de la communauté d'aglomération sont bien issus des impôts locaux que payent, entre autres, les Fontenaisiens. Des voix se sont d'ailleurs élevées pour dénoncer l'augmentation des impôts locaux à Fontenay-aux-Roses (+9% en moyenne en 2012) et l'augmentation de la Contribution Foncière des Entreprises (+42%). Le maire a été aussi critiqué sur le coût de ces grands projets : les 8 millions du marché et les 200.000 euros de la mare aux batraciens.

    Enfin, les habitants ont fait part de leurs inquiétudes face à la dégradation de la qualité de vie à Boris Vildé. Des nuisances de plus en plus nombreuses ont été signalées, de jour comme de nuit.

     

    Voici donc, en quelques mots, le bilan de la municipalité sur le quartier des Ormeaux-Renards :

    • abandon d'un projet qui provoque un manque à gagner de 1,2 millions d'euros au budget 2012
    • incertitude sur le devenir d'un terrain au Mouilleboeufs qui risque de se transformer en décharge
    • incertitude sur la finalité des bâtiments du conservatoire dont la vente, décidée, se fera un jour
    • augmentation des impôts locaux pour financer des projets surdimensionnés ou inutiles
    • inquiétudes face à la dégradation de la qualité de vie de ce quartier

     

    Il est temps, dans notre ville, que cela change.

  • Le marché, un an après son inauguration

    Grand projet de l'actuelle mandature, le marché aux comestibles a été inauguré il y a presque un an. Le moment est donc venu de faire un premier bilan de ce projet dont le coût global a été de 8 millions d'Euros.

    En tout premier lieu, on peut s'interroger sur l'activité globale du marché. Si le nombre de commerçants a augmenté, l'activité commerciale de ceux-ci est très décevante. En effet, depuis la rentrée, plusieurs commerçants me disent qu'ils subissent une baisse sensible de leur chiffre d'affaires à Fontenay-aux-Roses. Notre première réaction consiste à leur répondre que c'est la crise, que les gens réduisent leur consommation pour se consacrer à ce qui est strictement nécessaire. Et bien, non. Car sur les autres marchés, auquels ils participent, ces commerçants ne constatent pas du tout cette baisse de chiffre d'affaires. C'est donc une particularité de notre ville.

    Ensuite, je reviens sur la délibération N°3 du Conseil municipal du 11 octobre 2012, concernant la prolongation du délai de garantie de nombreux lots attachés à la construction du nouveau marché. Il semble que le marché connaissant un certain nombre de problèmes de finition ou de défauts de construction, la mairie a fait le choix de prolonger le délai de garantie de ces lots (exemple de défaut constaté : lire les brèves fontenaisiennes du 4 octobre 2012).

    On le sait, des projets de construction de cette ampleur ne sont jamais sans problème de finition. Par contre, il est curieux de constater que cela concerne une majorité de lots (2, 3, 4, 6, 9, 10, 11 et 13) de ce projet. Un an après sa mise en service, il est quand même inquiétant de s'apercevoir que le nombre de ces problèmes non résolus reste aussi important.

    Il appartient donc à la mairie de faire le nécessaire pour que cette situation se résolve rapidement et pour que ce marché aux comestibles puisse répondre aux attentes des Fontenaisiens. Mais au-delà, il me semble important qu'il y ait une véritable réflexion sur l'activité commerciale elle-même, permettant à la fois la satisfaction des commerçants et une réponse adéquate aux besoins des consommateurs de notre ville. Ce qui ne semble pas avoir été fait à ce jour.

  • Abandon du projet d'installation d'un LIDL à Fontenay-aux-Roses

    La direction de la chaîne de magasins LIDL a décidé, finalement, de ne pas venir s'installer à Fontenay-aux-Roses.

    En réalité, la direction de LIDL indique que l'installation d'un magasin sur le territoire de Fontenay-aux-Roses ne correspond plus à la politique d'implantion du groupe qui privilégie actuellement des ouvertures de magasins de plus grande taille. Je souhaite qu'une confirmation du côté de la municipalité nous soit rapidement communiquée.

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    Sans revenir sur les conditions opaques de ce projet (annonce d'un projet bouclé lors d'un Conseil de quartier, sans consultation des habitants et sans en avoir informé l'opposition), l'abandon de cette implantation pose quelques questions sur le devenir de ce terrain actuellement à l'abandon entre la rue Paul Langevin et la rue Jean Moulin (au carrefour des Mouilleboeufs) et sur les aspects financiers pour notre ville.

    En effet, 1,2 millions d'Euros étaient inscrits au budget 2012 pour la vente de ce terrain à LIDL. C'est autant de recettes qui vont faire défaut au budget de la commune.

    Fontenay-aux-Roses se retrouve maintenant avec ce terrain sur les bras. Comment l'utiliser ?

    Je propose que ce terrain soit utilisé afin d'y créer soit une pépinière d'entreprises permettant à de nouvelles sociétés de s'épanouir et de se développer sur notre commune, soit d'y installer une zone d'activité artisanale. Dans les deux cas, notre ville pourrait bénéficier d'un regain de dynamisme économique qui nous fait tant défaut actuellement.

    Nous voyons tous des entreprises s'installer ou bien des constructions de bureaux se faire dans les villes avoisinantes ... mais pas à Fontenay-aux-Roses. Nous avons là une occasion d'inverser cette tendance. Ce terrain est d'ailleurs idéalement bien placé, puisque à proximité du RER Robinson et devant un carrefour qui relie plusieurs communes.

    Bien entendu, dans le cadre de la Démocratie participative, il serait intéressant que les habitants de Fontenay-aux-Roses soient consultés sur le devenir de ce terrain.

     

    - Pour en savoir plus sur l'annonce de ce projet