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fontenay-aux-roses - Page 25

  • Commémoration émouvante de l'Appel du 18 juin

    En ce 18 juin, nous nous sommes retrouvés en nombre devant la mairie de Fontenay-aux-Roses pour la commémoration du 70ème anniversaire de l'Appel du Général de Gaulle. Cette manifestation était émouvante à plus d'un titre.

    appel-18-juin.jpgL'Appel du 18 juin 1940 du Général de Gaulle est un événement fondateur de notre histoire et de notre mémoire nationale. Je souhaite que cet événement résonne encore longtemps auprès des générations futures et reste un exemple du refus du renoncement et de l'abaissement de la France. Les valeurs que sont le courage, la volonté et la persévérance dans les moments difficiles (qu'ils s'agissent des combats politiques, des combats militaires ou plus simplement des combats de la vie quotidienne) ne doivent pas être oubliées.

    A Fontenay-aux-Roses, nous avons donc marqué cet événement par une manifestation émouvante à laquelle s'étaient associées la municipalité, le Comité d'Entente et le Souvenir Français. Après le dépôt des gerbes, un jeune lycéen a lu avec beaucoup de conviction le texte de l'Appel du 18 juin. Puis Thierry Leviel nous a lu avec beaucoup d'émotion un poème qu'il a écrit sur "son" général.

    Mais le plus émouvant fut la remise de diplômes à nos anciens qui ont combattu lors du conflit de la seconde guerre mondiale. Nous nous sommes retrouvés après la commémoration à la salle du Conseil dans laquelle le maire et Philippe Ribatto (vice-président du Comité d'Entente) ont remis ces documents, signes de la reconnaissance de la France pour ceux qui se sont battus pour notre liberté.

    Enfin, j'ai une pensée pour le Général Bigeard, officier le plus décoré de France, ancien résistant, qui s’est éteint ce vendredi, le jour où la France commémore le 70ème anniversaire du 18 juin. A ceux qui lui demandaient un autographe, Marcel Bigeard signait, quel que soit l’interlocuteur : « Votre vieux soldat ». Un vieux soldat qui aimait furieusement la France.

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  • La mixité sociale à Fontenay-aux-Roses vue par les socialistes

    Le groupe socialiste du Conseil municipal signe une tribune libre, dans le Fontenay Magazine, intitulée "Notre politique du logement : assurer la mixité sociale et bien loger les Fontenaisiens". Cette tribune mérite quelques précisions et rectifications ...

    Cet article commence par une affirmation incroyable : "dans l'euphorie d'une croissance urbaine sans limite, la droite a densifié la commune depuis 1954 en détruisant le vieux Fontenay dont il ne reste pas grand-chose ... à part quelques pavillons qui n'ont pas été rasés et remplacés par des tours".

    Quand je lis cette phrase, j'ai d'abord envie de rappeler aux socialistes fontenaisiens que, après la seconde guerre mondiale, une très grave crise du logement existait dans notre pays (souvenons-nous de l'hiver 1954 et de l'action exceptionnelle de l'abbé Pierre). Dans toute la région parisienne de grands ensembles de logements ont été construits, dans toutes les communes alentour, y compris celle de gauche. Que penser de ces grandes tours collectives que l'on voit par exemple à Bagneux (ville communiste), construites à la même époque, dont la conception et l'architecture n'ont rien à envier à ce qui s'est construit à Fontenay ? En terme d'urbanisme, aujourd'hui, on ne ferait plus du tout des constructions de ce genre, mais toutes les villes, de gauche comme de droite, l'ont fait pour répondre aux besoins de l'époque !

    Ensuite, il est mensonger de dire que la droite a rasé les zones pavillonnaires à Fontenay-aux-Roses, à l'exception de la rue Boucicaut. Le maire, Pascal Buchet, ne cesse pourtant de parler de l'esprit village de notre commune et du bien vivre de nos quartiers. Et il suffit de se promener à pied dans notre ville pour voir ces quartiers de maisons anciennes au style remarquable (que nous essayons d'ailleurs de protéger contre les divers projets du maire).

    Une autre phrase m'interpelle : "Après le coup d'arrêt en 1994 ... à la politique de densification menée par la droite, nous avons choisi de préserver tout en rénovant l'existant". En réalité, la municipalité conduit une véritable politique de densification en ne construisant que des logements sociaux, avec des projets parfois d'importance et qui dénaturent plusieurs quartiers de notre ville : rue Boris Vildé, place du Général de Gaulle (où le maire fait raser deux pavillons), rue Gabriel Péri, rue des Bénards (à la place de la sécurité sociale et sur les espaces verts qui l'entourent) ... on le voit, depuis 1994, c'est l'équipe en place qui rase les pavillons, fait de la densification à outrance et qui ne préserve surtout pas l'esprit village de notre commune.

    Je voulais aussi réagir vivement à cette affirmation que nous voudrions "la ségrégation de l'espace urbain ... et l'obstruction systèmatique à la mixité sociale". Alors, une bonne fois pour toute, je tiens à dire que nous sommes pour une véritable mixité sociale, qui permet dans un shéma global d'urbanisme de notre ville d'associer avec intelligence l'habitat privé et le logement social, les zones pavillonnaires et les immeubles collectifs à taille humaine. Nous sommes contre une politique qui consiste à ne privilégier qu'un seul type de logements.

    Enfin, je voulais m'insurger avec force contre cette action de la municipalité qui "s'est assurée que la vente des immeubles d'ICADE" (1500 logements) "se fasse au profit de bailleurs sociaux". Savez-vous que un grand nombre de familles vont se retrouver avec des surloyers importants, qu'elles ne pourront pas payer ? Ces familles devront alors quitter leur logement, devront partir de Fontenay. Cette action dont se vante la municipalité risque simplement de ne favoriser qu'une unique catégorie sociale d'habitants dans certains quartiers ...

    Alors, dites-moi, où se trouve la mixité sociale, si chère aux socialistes ?

  • Fontenay-aux-Roses : ville fleurie, ville bien entretenue ?

    Avec le printemps, les villes voisines de Fontenay-aux-Roses ont revêtue un aspect fleuri et agréable. A Fontenay-aux-Roses, la situation semble bien différente et en voici ci-dessous quelques exemples illustrés par des photos.

    Avez-vous remarqué que la ville de Fontenay-aux-Roses n'affiche pas le label des villes fleuries à l'entrée de la commune ? Alors qu'autour de nous, différentes communes ont été primées (4 fleurs pour Meudon et Le Plessis-Robinson, 3 fleurs pour Bagneux, Malakoff et Montrouge, 2 fleurs pour Sceaux, Châtillon et Chatenay-Malabry, 1 fleur pour Clamart et Vanves), Fontenay-aux-Roses, malgré son nom prometteur, ne participe pas à l'obtention de ce label.

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     Le label « Villes et Villages Fleuris » existe depuis 50 ans et il est devenu porteur d'un véritable phénomène tant auprès des élus qu'auprès du grand public. 12 000 communes présentent chaque année leur travail pour gagner des fleurs, le mieux étant 4 fleurs. Un jury vient apprécier et évaluer les réalisations de fleurissement et d'embellissement des villes à partir de plusieurs critères : le patrimoine paysager et végétal de la commune (arbres, arbustes, fleurs, couvres sols), les efforts faits par la commune pour améliorer le cadre de vie et l'engagement des actions de développement durable ...

    Il est alors facile de comprendre pour quelle raison, notre commune n'a pas le label des Villes Fleuries, puisque si l'on regarde les quelques exemples ci-dessous, Fontenay-aux-Roses est loin d'être une ville au patrimoine paysager destiné à améliorer le cadre de vie des Fontenaisiens : bacs de plantes miséreuses ou tristes, herbes folles qui se développent dans les rues, massifs laissés à l'abandon, état des voies communales sans entretien et saleté des rues ...

     

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    Alors, effectivement, Pascal Buchet a raison de nous rappeler sans cesse que Fontenay-aux-Roses est une ville où il fait bon vivre !

  • "Laissons pousser" dans les rues de Fontenay-aux-Roses

    Lors du Conseil de quartier "Parc - Centre ville" du 5 mai, les participants ont évoqué notamment les problèmes de propreté des rues de Fontenay-aux-Roses, et plus particulièrement la liberté laissée au développement anarchique de la végétation dans nos rues.

    Concernant plus particulièrement la propreté des rues, les habitants du quartier ont signalé que les rues étaient sales et que certaines d'entre elles pouvaient rester plusieurs semaines sans intervention des équipes de nettoyage. Le maire, Pascal Buchet, a répondu que la fréquence de passage des équipes d'entretien variait selon les rues et les quartiers, entre l'intervention hebdomadaire et mensuelle. Ce qui explique que certaines rues sont sales pendant de longues périodes. Ce sentiment que notre ville est salle est d'ailleurs ressortie nettement dans l'un des sondages en ligne que nous vous avons proposé sur notre site de l'UMP Fontenay, puisque à 71% les Fontenaisiens pensent que les rues ne sont pas propres (sondage de février 2010) !

    Hier soir, les habitants ont également signalé à Pascal Buchet que la végétation se développe de façon anarchique et intensive dans nos rues : trottoirs, caniveaux, milieu des rues. Pour mémoire, je vous invite à vous reporter à un article que j'avais écrit en septembre 2009 et comportant des photographies illustrant exactement les propos des Fontenaisiens. Neuf mois plus tard, la situation n'a pas changé !

    Alors, quelle est la réponse de Pascal Buchet ? C'est volontaire car, non seulement, la mairie refuse d'utiliser des produits chimiques pour détruire cette végétation expansive dans nos rues, mais encore il y a la volonté de laisser pousser la biodiversité de Fontenay-aux-Roses, notamment au travers de l'opération "Laissons Pousser" !

    L'objectif avoué (et largement commenté dans le Fontenay Mag) est, je cite, de remettre de la nature sauvage et de la biodiversité dans la ville. Il est demandé aux Fontenaisiens de venir chercher à la mairie un petit sachet de graines de fleurs sauvages, de choisir un pied d'arbre dans les rues ou tout autre espace public et de semer. Voici donc la réponse de Pascal Buchet ...

    Cette opération "Laissons Pousser" est en réalité mise en place par la communauté d'agglomération Sud de Seine, dans le cadre de son adhésion à la Charte régionale de Biodiversité. Cette charte reconnait l'importance du patrimoine naturel de la Région et engage les adhérents à mettre en oeuvre une stratégie partagée de préservation de la biodiversité.
    Ainsi, que l'on sensibilise, par exemple, les enfants des écoles maternelles de Fontenay à la biodiversité en leur permettant de semer ces graines de fleurs sauvages dans les potagers pédagogiques, c'est une bonne chose. Que les jardiniers municipaux sèment également des espaces verts (par exemple face au collège ou sur la pelouse devant le château Sainte-Barbe), c'est effectivement une initiative intéressante.

    Par contre, utiliser cette opération pour dissimuler le fait que la végétation se développe de façon anarchique dans nos rues ne me semble pas correspondre aux attentes des Fontenaisiens. Ceux-ci veulent, certe une ville verte et s'intégrant dans un processus de sauvegarde de la biodiversité, mais surtout ils veulent une ville propre avec des rues bien entretenues !

  • Mensonges et manipulations : la vérité sur le PAL

    Dans le Fontenay Magazine du mois d'avril, la tribune du groupe socialiste lance une attaque directe contre l'UMP avec un titre sans ambiguité : "Les scandales de l'UMP dans les Haut-de-Seine" !

    Cette tribune comporte une suite d'erreurs, de mensonges et de manipulations. Il convient donc de rétablir la vérité notamment sur le Plan d'Aide à la Lecture autrement appelé le PAL.

    Le groupe socialiste et Pascal Buchet affirment que le Conseil général des Hauts-de-Seine supprime purement et simplement le dispositif du PAL. En réalité, le Parti Socialiste, sur l'ensemble du département, a débuté une campagne de désinformation dans la presse et sur internet. Pascal Buchet s'en est naturellement emparé lors du dernier Conseil municipal pour attaquer nos élus et critiquer la majorité départementale.

    Alors de quoi s'agit-il ? Le PAL est un dispositif périscolaire du Conseil général des Hauts-de-Seine qui avait été mis en place dans les écoles du premier degré depuis une vingtaine d’années pour favoriser l’envie de lire et pour aborder l’écrit « autrement » pour des enfants en difficulté. Les enseignants sont rémunérés par le Conseil Général et la ville contribue aux frais de fonctionnement engagés.
    Or, il se trouve que ces dernières années le fonctionnement du PAL dans les écoles a connu une baisse sensible du nombre de projets et surtout du nombre d'élèves le fréquentant. Peu à peu, d'autres dispositifs se sont développés en parrallèle du PAL et il apparaît nécessaire de mieux coordonner toutes ces actions.
    La décision du département permettra donc d'économiser 500.000 Euros par an d'une part, mais ce budget sera aussi redéployé vers d'autres dispositifs comme par exemple les « classes numériques expérimentales » dont le nombre de projets est en hausse sensible et dont les contenus semblent plus appropriés aux besoins actuels des enfants.

    Bien évidemment, Pascal Buchet lors du dernier Conseil municipal a voulu mettre le groupe UMP en difficulté. Nos cinq élus lui ont répliqué que, si il voulait maintenir le PAL sur notre ville, il était possible que la mairie accorde une subvention municipale à ce projet qui ne serait qu'une goutte d'eau par rapport au budget monumental consacré au projet de marché. Bien évidemment, le maire a rétorqué que ce n'était pas à la commune de palier au désengagement du Conseil général !

    Et pourtant, ironie de cette position de Pascal Buchet, dans l'ensemble des villes gérées par la droite et le centre, l'opposition de gauche a proposé naturellement que les communes prennent le relais du financement du PAL. Alors, nous avons bien là un exemple de manipulation politique.

    Le véritable scandale est là ! Les socialistes nous mentent en affirmant que le PAL est supprimé sans la mise en place de dispositifs de remplacement et Pascal Buchet nous manipule quand il refuse notre proposition d'une prise en charge du financement du PAL par la commune (alors que ses amis font cette même demande dans d'autres villes).