Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

municipal

  • Lettre ouverte du personnel municipal au maire Pascal Buchet

    Les syndicats représentants le personnel municipal viennent de remettre à Pascal Buchet une lettre ouverte ayant pour objet : obligation de sécurité, sanction, souffrance au travail et dialogue social. Une liste de points qui constituent autant d'échecs dans la gestion des ressources humaines de la ville.

    Scan-personnel.jpgManager de l'humain, c'est toujours difficile. Il y a environ 480 employés municipaux dont seulement 280 titulaires de leur poste (les autres sont contractuels). La gestion du personnel avec autant de personnes n'est donc pas une chose aisée. Cependant, à Fontenay-aux-Roses, les choses sont de plus en plus difficiles. Depuis des années, la situation des agents municipaux s'est grandement dégradée au regard de la sécurité du travail, des sanctions répétitives, de la souffrance au travail et du dialogue social.

    Cette lettre ouverte est à la fois la mise en évidence d'un système méprisant, démotivant et basé uniquement sur le rapport de force. A tel point, qu'aujourd'hui la rupture est profonde entre la mairie et ses employés. L'absence de dialogue social et l'absence de confiance sont le résultat d'une gestion méprisante et des promesses non tenues.

    Si l'Union Pour Fontenay-aux-Roses est choisie en mars prochain pour administrer notre ville, nous aurons une priorité : rétablir le dialogue pour créer les conditions d'une nouvelle relation entre mairie et personnel. Nous devrons aussi rétablir la confiance des agents, leur motivation et leur offrir de bonnes conditions de travail. Notre objectif est le travail en commun pour le bien-être des Fontenaisiens et pour rendre les services qu'ils attendent de la municipalité.

     

    Je vous invite donc à lire cette lettre ouverte.

    Article du 17 mai 2011 : Grève à la mairie de Fontenay-aux-Roses, le personnel dénonce une parodie de dialogue social.