Le 14 janvier, j'étais avec beaucoup de nos militants de Fontenay au congrès extraordinaire, à la porte de Versailles. Cette journée a été pour moi, comme pour beaucoup des 80 000 participants, forte en émotion et en affirmation de nos convictions. Nicolas Sarkozy a su nous communiquer à la fois son enthousiasme, sa combativité et son espoir dans l'avenir.

Emotion d'abord, au travers de cette humanité qu'il a voulu nous montrer avec simplicité. « Je pensais que la politique n'avait rien à voir avec mes émotions personnelles. J'ai compris que l'humanité est une force, pas une faiblesse (...). J'ai changé parce que les épreuves de la vie m'ont changé » a-t-il affirmé.

Sa combativité ensuite, avec un projet qui correspond aux valeurs dans lesquelles se retrouvent l'ensemble de la droite pour une République réelle, opposée à la République virtuelle que nous propose la gauche conservatrice. Une République qui "tire vers le haut", où "les devoirs sont la contrepartie des droits". « Ma France, c'est une nation ouverte, accueillante, c'est la patrie des droits de l'homme. C'est elle qui m'a fait ce que je suis », a-t-il déclaré. « J'aime passionnément le pays qui m'a vu naître. Je n'accepte pas de le voir dénigré ».

Nicolas Sarkozy nous a aussi communiqué un formidable espoir en nous présentant les grandes lignes de son projet dans les domaines fiscal, social, économique ... un ensemble complet de mesures pour redonner le goût du travail, pour créer des emplois et augmenter le pouvoir d'achat. Il nous a présenté une République qui "tire vers le haut", où "les devoirs sont la contrepartie des droits".

Nicolas Sarkozy a conclu : « Arrêtons de nous demander ce que la France fait pour nous, et réfléchissons à ce que nous avons à faire pour notre pays ». Je pense que tout est dit dans cette dernière phrase ...